Diagnostic énergétique
Son objectif est d’évaluer la distribution sur les différents éléments du bâtiment (toiture, murs, fenêtres,…).
Fort de ce constat, il devient possible de maitriser, voir d’optimiser sa consommation.
Car les économies d’énergies commencent par l’énergie que l’on ne consomme pas !


RT 2012
Le contenu et les modalités d’établissement du DPE sont réglementés. Le DPE décrit le bâtiment ou le logement (surface, orientation, murs, fenêtres, matériaux, etc), ainsi que ses équipements de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation. Il indique, suivant les cas, soit la quantité d’énergie effectivement consommée (sur la base de factures), soit la consommation d’énergie estimée pour une utilisation standardisée du bâtiment ou du logement.
La lecture du DPE est facilitée par deux étiquettes à 7 classes de A à G (A correspondant à la meilleure performance, G à la plus mauvaise) :
- l’étiquette énergie pour connaître la consommation d’énergie primaire ;
- l’étiquette climat pour connaître la quantité de gaz à effet de serre émise.
Bien entendu, les consommations réelles des bâtiments dépendent très directement des conditions d’usage et de la température effective de chauffage ; les consommations estimées ne sont donc pas une garantie contractuelle, mais elles permettent une comparaison objective de la qualité des logements et bâtiments mis en vente ou loués.
Le diagnostic comprend également des recommandations qui permettent à l’acquéreur, au propriétaire, au bailleur ou au locataire, de connaître les mesures les plus efficaces pour économiser de l’énergie : il s’agit de conseils de bon usage et de bonne gestion du bâtiment et de ses équipements, ainsi que de recommandations de travaux. Ces travaux conseillés ne sont pas obligatoires : le DPE a pour objectif d’inciter à améliorer la performance énergétique du bâtiment, pas d’obliger à la réalisation de travaux.
Thermographie
La thermographie infrarouge permet de visualiser sur une image la température des matières qui se trouvent dans le champ d’observation.
Elle permet notamment de vérifier l’isolation, la recherche de fuites, la surveillance électrique, détecter des zones humides …
La caméra thermique ne mesure pas des températures mais des rayonnements. Ces rayonnements sont traduits par la caméra en indication de température. La thermographie infrarouge relève les écarts de température à la surface des matériaux. En cas de températures très homogènes (entre l’intérieur et l’extérieur d’un bâtiment par) il est difficile de constater des défauts. L’air n’est pas visible par une caméra infrarouge tout comme l’intérieur des matériaux.
Hélios’R est équipé d’une caméra thermique Flir E50bx . Cela nous permet de pouvoir réaliser de la thermographie classique pour les bâtiments mais aussi des diagnostics thermiques spécifiques pour les installations photovoltaïques. C’est un outil complémentaire dans notre expertise sur des installations photovoltaïques présentant des baisses de productible ou d’autres défauts.


Drône
La règlementation française est très précise pour l’utilisation de ce type d’aéronef. L’équipe d’Hélios’R possède les qualifications pilote nécessaires pour le pilotage de ce type d’aéronef Diplôme ESMA VTOL PHANTOM Niv 1. C’est une technique assez innovante qui permet d’accéder en toute sécurité au façade extérieure ou à un toit d’un bâtiment à n’importe qu’elle hauteur sans devoir mobiliser un équipement lourd et couteux.
Exaphir est basé sur Scout X8 de walkera sur lequel une caméra ilook + montée sur tourelle asservi en 3D et permet d’assurer les fonctions de prise de vue ou de caméra. Des améliorations sont en cours d’étude pour rendre la tourelle pluri disciplinaire afin de pouvoir l’équiper de plusieurs type de capteur (ultrasons, lazer, infrarouge etc… )
Plusieurs projets sont en cours d’étude pour l’utilisation et le développement de cet aéronef.